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PROMOTION DE L’INVESTISSEMENT DANS L’ESPACE FRANCOPHONE: LE RIAFPI TIENT SA PREMIÈRE CONFÉRENCE ANNUELLE A ABIDJAN
mercredi 10 février 2016
Le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Daniel Kablan Duncan a présidé jeudi 10 mars, l’ouverture de la première conférence annuelle du Du Réseau International Des Agences Francophones de Promotion des Investissements (RIAFPI) qui porte sur le thème: “intégration et francophonie économique : quelle contribution des agences de promotion des investissements ?” A cette occasion, le Chef du Gouvernement a invité les agences de promotion des investissements dont les représentants sont présents à Abidjan, à “renforcer, adapter et surtout affiner dans un cadre de coopération”, leur stratégie d’attraction de flux de capitaux privés nécessaires pour le financement du développement des Etats francophones.
La tenue de la première conférence annuelle du Réseau International des Agences Francophones de Promotion des Investissements, est donc une opportunité selon le Premier ministre pour pour célébrer la francophonie, espace culturel, d’intégration, de partage et d’enrichissement mutuel. Mais également un espace économique que tous sont appelés à bâtir et à faire grandir à l’image de sa dimension politique aujourd’hui bien établie.
Pour le Chef du Gouvernement, une telle orientation est conforme à la nouvelle vision que veulent donner les Chefs d’Etats et de Gouvernement francophones à l’Organisation internationale de la Francophonie, une institution originellement à vocation culturelle mais aujourd’hui “rattrapée par les enjeux de la mondialisation des affaires avec la prédominance d’autres langues notamment l’anglais comme langue d’affaires la plus pratiquée dans le monde”.
“Le RIAFPI, dans un monde en pleine compétition, n’a d’autre choix que de nous proposer des solutions innovantes, des outils performants et modernes d’attraction des investissements si nous voulons ensemble transformer l’essai visant à faire du monde francophone un hub de prospérité”, a insisté Daniel Kablan Duncan.
Saluant ce réseau qui crée un cadre concerté pour la pleine valorisation des potentialités économiques du monde francophone “au bénéfice de nos populations” dans un contexte international où la Francophonie cherche à se positionner comme une force d’attraction dominante pour mieux développer des relations d’affaires entre ses différentes composantes, au vue de ses immenses besoins et des potentialités de partenariats mutuellement enrichissants.
Cependant, comme les études prospectives prédisent un renversement de tendances dans les décennies à venir avec le français en pole position, le débat linguistique porte désormais sur une meilleure exploitation des atouts et avantages de la langue française. Elle peut servir de catalyseur et de vecteur directeur pour un développement économique et social d’une force démographique d’environ 220 millions de locuteurs, répartis sur un espace couvrant les cinq continents.
“Aujourd’hui, avec plus 7.200 milliards de dollars de PIB générés par les 77 États et gouvernements membres et observateurs de l’OIF, il s’agit d’échanger sur la dynamisation de cet énorme potentiel qui constitue une vraie force économique”, a poursuivi le Premier ministre non sans rappeler qu’en fédérant les acteurs concernés et en organisant des synergies, “l’OIF peut être en mesure de relever des défis économiques, gage de succès pour sa pérennité”.
Chiffres à l’appui, Daniel Kablan Duncan a dévoilé le poids de cette organisation en indiquant qu’elle est devenue plus qu’une organisation culturelle car avec une population représentant plus de 13% de la population mondiale, l’espace francophone représente plus de 13 % du PIB mondial, 20% des exportations, 19% des importations, 22% des terres habitables et des réserves d’eau potable, ainsi qu’une population jeune et en croissance continue.
Par ailleurs, a révélé le Chef du Gouvernement, la croissance économique de l’espace francophone a été soutenue en moyenne annuelle à 3,2 % au cours des 5 dernières années. Ce qui, à ses yeux, conforte les dirigeants de l’espace francophone qu’il porte en lui, “les germes du succès économique de demain”.
Intervenant au nom de la Secrétaire générale de l’OIF, M. Moncef Follain, Conseiller Economie et Développement Durable du Cabinet de la Secrétaire Générale de l’OIF, a soutenu que le partage d’expériences en réseau est capital pour le développement des Etats francophones.
Le représentant de Michaëlle Jean a fait savoir que l’organisation s’engageait désormais dans une perspective de promotion de la dimension économique de la coopération entre Etats Francophones.
Prévue pour deux jours, la première ré union du RIAFPI sera ponctuée de conférences et débats centrées autour de la problématique du développement économique des Etats francophones dans un cadre de coopération renforcée.
Pour le Chef du Gouvernement, une telle orientation est conforme à la nouvelle vision que veulent donner les Chefs d’Etats et de Gouvernement francophones à l’Organisation internationale de la Francophonie, une institution originellement à vocation culturelle mais aujourd’hui “rattrapée par les enjeux de la mondialisation des affaires avec la prédominance d’autres langues notamment l’anglais comme langue d’affaires la plus pratiquée dans le monde”.
“Le RIAFPI, dans un monde en pleine compétition, n’a d’autre choix que de nous proposer des solutions innovantes, des outils performants et modernes d’attraction des investissements si nous voulons ensemble transformer l’essai visant à faire du monde francophone un hub de prospérité”, a insisté Daniel Kablan Duncan.
Saluant ce réseau qui crée un cadre concerté pour la pleine valorisation des potentialités économiques du monde francophone “au bénéfice de nos populations” dans un contexte international où la Francophonie cherche à se positionner comme une force d’attraction dominante pour mieux développer des relations d’affaires entre ses différentes composantes, au vue de ses immenses besoins et des potentialités de partenariats mutuellement enrichissants.
Cependant, comme les études prospectives prédisent un renversement de tendances dans les décennies à venir avec le français en pole position, le débat linguistique porte désormais sur une meilleure exploitation des atouts et avantages de la langue française. Elle peut servir de catalyseur et de vecteur directeur pour un développement économique et social d’une force démographique d’environ 220 millions de locuteurs, répartis sur un espace couvrant les cinq continents.
“Aujourd’hui, avec plus 7.200 milliards de dollars de PIB générés par les 77 États et gouvernements membres et observateurs de l’OIF, il s’agit d’échanger sur la dynamisation de cet énorme potentiel qui constitue une vraie force économique”, a poursuivi le Premier ministre non sans rappeler qu’en fédérant les acteurs concernés et en organisant des synergies, “l’OIF peut être en mesure de relever des défis économiques, gage de succès pour sa pérennité”.
Chiffres à l’appui, Daniel Kablan Duncan a dévoilé le poids de cette organisation en indiquant qu’elle est devenue plus qu’une organisation culturelle car avec une population représentant plus de 13% de la population mondiale, l’espace francophone représente plus de 13 % du PIB mondial, 20% des exportations, 19% des importations, 22% des terres habitables et des réserves d’eau potable, ainsi qu’une population jeune et en croissance continue.
Par ailleurs, a révélé le Chef du Gouvernement, la croissance économique de l’espace francophone a été soutenue en moyenne annuelle à 3,2 % au cours des 5 dernières années. Ce qui, à ses yeux, conforte les dirigeants de l’espace francophone qu’il porte en lui, “les germes du succès économique de demain”.
Intervenant au nom de la Secrétaire générale de l’OIF, M. Moncef Follain, Conseiller Economie et Développement Durable du Cabinet de la Secrétaire Générale de l’OIF, a soutenu que le partage d’expériences en réseau est capital pour le développement des Etats francophones.
Le représentant de Michaëlle Jean a fait savoir que l’organisation s’engageait désormais dans une perspective de promotion de la dimension économique de la coopération entre Etats Francophones.
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