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3ème CONFERENCE DU TRAITE D’AMITIE ET DE COOPERATION COTE D’IVOIRE-BURKINA FASO: LE PRESIDENT BLAISE COMPAORE EST ARRIVE A YAMOUSSOUKRO

lundi 29 juillet 2013


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Le Chef de l’Etat du Burkina Faso, S.E.M Blaise Compaoré est arrivé dans la soirée du lundi 29 juillet, à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne. Il a été accueilli à son arrivée par le Président de la République, S.E.M Alassane Ouattara. Le président du Burkina Faso qui séjourne en Côte d’Ivoire dans le cadre de la 3è Conférence au sommet du Traité d’Amitié et de Coopération entre les deux pays, a souligné à sa descente d’avion que cette rencontre vise à concrétiser les engagements pris lors des sommets antérieurs, pour faire en sorte qu’il y ait plus d’union, de stabilité et de démocratie entre les deux pays. Selon lui, les travaux de Yamoussoukro, en plus d’évaluer ce qui a été réalisé doit par ailleurs, plancher sur la consolidation des acquis pour que cet exemple de coopération serve de modèle aux pays de la sous-région. Pour sa part, le Président Alassane Ouattara s’est dit heureux d’accueillir son hôte. Ci-dessous l’intégralité des propos du Président Blaise Compaoré :


« Je voudrais d’abord remercier le frère Ouattara Alassane pour cette invitation à concrétiser les engagements que nous avons pris ensemble, pour faire en sorte qu’entre nos deux pays il y ait plus de stabilité, de démocratie, plus d’union, de cohésion mais surtout qu’à travers nos actes nous puissions donner l’exemple à tous ceux qui nous entourent dans la région ouest-africaine.

Qu’elle renforce les idées mais aussi les actions en faveur de l’intégration de notre sous-région. Comme vous le savez, nous venons pour faire une évaluation de ce qui a été réalisé depuis les engagements pris.
Mais aussi voir comment consolider les acquis, aussi œuvrer à faire en sorte que la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, puissent dans l’avenir se présenter comme l’exemple qu’il faut suivre pour les autres nations.

Nous avons l’ambition de travailler de façon plus ouverte avec les autres, afin qu’à partir de ce noyau, la sous-région puisse accélérer surtout l’intégration. C’est ça notre souhait aujourd’hui. »


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