PROTECTION SOCIALE : LE VICE-PRESIDENT TIEMOKO MEYLIET KONE SALUE LA RESILIENCE ET LA ROBUSTESSE DU SYSTEME DE SECURITE SOCIALE IVOIRIEN

Abidjan, le 16 novembre 2022 – Le Vice-président de la République, Tiémoko Meyliet Koné, a salué la résilience et la robustesse du système de sécurité sociale de la Côte d’Ivoire, à l’occasion du 4ème Forum international sur la retraite dans la zone CIPRES, le mercredi 16 novembre 2022 à Abidjan.

« Je voudrais saluer l’important rôle joué par les Institutions de prévoyance sociale en Côte d’Ivoire. Malgré l’impact de la Covid-19, ayant souvent conduit à une suspension du paiement des cotisations sociales, nos Institutions, avec détermination, se sont données les moyens de verser les prestations sociales sans discontinuité, évitant ainsi la précarité à de nombreux retraités, dont la dignité a pu être préservée. Cela montre la résilience et la robustesse de notre système de sécurité sociale », a déclaré Tiémoko Meyliet Koné.

Il a fait observer que le gouvernement a entrepris d’importantes réformes structurelles et sectorielles, destinées à améliorer les conditions de vie de tous, mais surtout des plus âgés. Il s’agit principalement de la mise en place de la Couverture maladie universelle (CMU), de la création du régime social des travailleurs indépendants (RSTI) et de la mise en place de régimes de retraite complémentaires par capitalisation au profit des travailleurs indépendants, des fonctionnaires et agents de l’État.

Pour le Vice-président de la République, le défi actuel est de renforcer la gouvernance des organismes de sécurité sociale, d’étendre leur couverture aux populations non encore couvertes et de rechercher des ressources additionnelles afin de préserver l’équilibre financier de la branche retraite sur le long terme.

Pour sa part, le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Adama Kamara, a souligné que l’embellie financière que connaît les institutions de protection sociale est le fruit du génie financier du Président Alassane Ouattara. Adama Kamara a rappelé la troisième revalorisation des pensions de retraite en 4 ans, à hauteur de 5% dans le secteur privé, tout en préservant l’équilibre de la branche retraite sur le long terme.

Et d’encourager ces institutions de protection sociale à jouer pleinement leur rôle d’investisseurs nationaux à travers la prise de participation dans des sociétés privées et parapubliques dans des secteurs stratégiques de l’économie nationale.