SIA 2017: LE CONSEIL DU COTON ET DE L’ANACARDE FAIT LA PROMOTION DE LA FILIERE CAJOU IVOIRIENNE A PARIS

Le parc des expositions de la porte de Versailles abrite, depuis, le 25 février dernier, le Salon International de l’Agriculture de Paris. Le conseil du Coton et de l’Anacarde présent à cet important rendez- vous agricole avec à sa tête Dr COULIBALY Adama, Directeur Général, était à l’honneur le jeudi 02 mars 2017, sur le stand de la Côte d’Ivoire, à l’occasion de la journée promotionnelle du Conseil du Coton et de l’Anacarde au SIA.

Lors de cette journée, le Directeur Général de l’organe ivoirien de régulation de la filière, a présenté la vision, les objectifs, les organes, les membres, l’organisation et le fonctionnement pratique du Conseil International Consultatif du Cajou (CICC), porté sur les fonts baptismaux, le 18 novembre 2016. Le CICC est l’organe chargé de la gestion macroéconomique du cajou au plan mondial.

Filière jeune, l’anacarde a été introduit en Côte d’Ivoire pour lutter contre la désertification, a noté le DG. Il a ajouté que ce produit écologique est devenu économique en raison des opportunités qu’il offre en termes économique et social.

Devenue le premier producteur mondial de noix de cajou, la Côte d’Ivoire doit maintenir sa place de leader grâce à une meilleure productivité et relever le défi de la transformation locale du cajou.

Dans cette dynamique, des conventions ont été signées notamment avec l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan et l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, dans les domaines de la recherche et de la transformation.

Le siège du Conseil international consultatif du cajou est à Abidjan, la capitale économique ivoirienne. Cette organisation internationale chargée de promouvoir le développement durable du cajou dans le monde a été conçue lors de la 2ème édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA), à Abidjan.


Dix pays producteurs ont participé à l’élaboration des textes fondateurs, à savoir le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée Bissau, la Guinée, le Sénégal, la Tanzanie et le Togo.