ECONOMIE : LE PREMIER MINISTRE RASSURE LES PME ET LES PMI FRANCAISES A INVESTIR EN CÔTE D’IVOIRE

Le Premier ministre, ministre de l’Economie et des Finances, M. Daniel Kablan Duncan, a reçu en audience le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie française en Côte d’Ivoire, M. Michel Tizon, à son cabinet au Plateau, le vendredi 18 janvier 2013. Après environ une heure d’échanges , M. Tizon a dit être rassuré par l’environnement économique de la Côte d’Ivoire, après que le Chef du gouvernement ivoirien lui a présenté les nombreux projets envisagés par l’Etat. Il a promis de transmettre cette assurance à ses confrères français en vue de favoriser l’implantation en Côte d’Ivoire de plusieurs petites et moyennes entreprises (PME) et de petites et moyennes industries (PMI). Car, ajoute-t-il, « ce sont les PME et les PMI qui créent le plus d’emplois ». L’intégralité de la déclaration de M. Michel Tizon à sa sortie d’audience.

« Je suis le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie française en Côte d’Ivoire. Je me suis fait accompagner par notre Directeur général, pour rencontrer le Premier ministre pour lui parler, surtout et en particulier, des PME et des PMI. Parce que, comme vous le savez, dans l’économie, c’est la base, c’est la toile de fond, c’est elle qui embauche le plus de personnel.

Donc, il faut savoir après cette crise, comment les choses se passent. Nous avons des choses visibles, comme la construction du troisième pont. Quand vous circulez, vous avez les embouteillages, cela est visible, ça bouge beaucoup. Je voulais savoir avec le Premier ministre quels étaient les grands projets qui pourraient justifier la venue de PME PMI, en particulier de France, puisque nous avons l’avantage d’avoir la même culture, la même langue, et autres. C’est très important.

Le Premier ministre, bien entendu, nous a énoncé tous les projets. Vous savez, je retrouve Duncan puisque je suis là depuis 38 ans et donc je connais son dynamisme, c’est un homme complet, un économiste financier. Il a fait les Affaires étrangères, il connaît parfaitement tous les problèmes qu’on peut rencontrer à l’extérieur. Nous avons besoin d’être rassurés. C’est fait. Nous allons pouvoir transmettre un petit peu cette assurance pour justifier plus rapidement la venue d’investisseurs étrangers, et surtout comme je vous le disais des PME et des PMI. »