DIMANCHE DE LA SOLIDARITÉ : 500 FAMILLES DÉFAVORISÉES DE COCODY REÇOIVENT LE SOUTIEN DU GOUVERNEMENT
Abidjan, le 19 mai 2023 - Après les communes d’Abobo, de Yopougon et la région du Haut-Sassandra, c’est la commune de Cocody, district d’Abidjan, qui a reçu, le lundi 15 mai 2023, la caravane du dimanche de la Solidarité au cours de laquelle 508 familles vulnérables ont bénéficié d’une assistance du gouvernement.
Les dons pour ce lot de ménages se composent de 500 sacs de riz de 25 kg, 2 000 sachets de tomate concentrée, 2 000 paquets de pâtes alimentaires, 1 875 bouteilles d’huile, 2 000 morceaux de savons.
Le montant total des dons aux 508 ménages vulnérables de ce jour s’élève à 54, 7 millions FCFA.
Pour la ministre Myss Belmonde Dogo, une société sans solidarité est un géant aux pieds d’argile.
La solidarité est le ciment de toute communauté humaine, un lien fraternel et une valeur sociale importante qui unit le destin de tous les hommes les uns aux autres.
Elle a ajouté que le dimanche de la Solidarité reste une occasion rêvée pour le gouvernement ivoirien de permettre aux populations les plus vulnérables, défavorisées et sinistrées de bénéficier de soutien. L’impossible devient possible lorsque la solidarité est la valeur la mieux partagée, la solidarité reste et demeure l’espoir du vivre ensemble.
« Cocody est une commune connue et reconnue pour ses somptueux édifices, pour ses maisons cossues, pour ses habitants « chocos », mais Cocody c’est aussi Colombie, Gobelet, Petit Bouaké. Cocody ,c’est aussi des maisons de fortunes, des baraques au milieu des villas. C’est là que la solidarité doit prendre tout son sens », a-t-elle affirmé.
Et d’exhorter les familles à se mettre en sécurité en quittant les zones désignées à risques par le gouvernement.
Notons que cinq familles ont été visitées à Cocody. Elles ont reçu l’assistance du gouvernement matérialisée par des vivres et non vivres, du numéraire pour des activités génératrices de revenus et pour certaines d’entre elles une aide supplémentaire pour un relogement vu les conditions de vie qui sont les leurs.
